« The Worth or water », le livre de l’acteur Matt Damon pour l’accès à l’eau potable dans le monde

L’accès à l’eau potable est aujourd’hui un enjeu crucial pour toutes les nations. Les gouvernements et les ONG s’engagent, tout comme de nombreux acteurs, à l’image de SPVIE Assurances qui soutient notamment l’association No Water No Us et son projet CycleForWater. C’est également le cas de l’acteur Matt Damon qui a d’ailleurs sorti un livre, « The Worth or water » (« La valeur de l’eau »).

Une association pour financer des travaux

Il faut tout d’abord rappeler que près de 800 millions de personnes dans le monde n’ont aujourd’hui pas accès à l’eau potable et courante. Un constat mis en lumière par Matt Damon qui s’engage depuis 2008 pour l’accès à l’eau potable dans le monde. C’est d’ailleurs à cette époque qu’il a fondé avec Gary White, un ingénieur, l’association « Water » qui a équipé depuis sa création pas moins de 43 millions de foyers en robinets, toilettes et canalisations.

L’acteur oscarisé s’est pour cela rendu plusieurs fois en Afrique ainsi qu’en Asie. Il sollicite des donateurs ainsi que des établissements bancaires afin de trouver des financements pour forer et construire des canalisations et des solutions d’épuration.

Un livre pour sensibiliser le plus grand nombre au problème de l’eau

« The Worth or water » traite la thématique de l’accès à l’eau potable dans le monde. Matt Damon rappelle dans son ouvrage qu’aujourd’hui encore, des millions d’enfants tombent malades du fait d’une eau insalubre. L’engagement de grandes sociétés comme à notre avis SPVIE ainsi que les gouvernements et ONG sont un signal très positif et encourageant.

Il soulève également l’impact social et sociétal de l’eau potable : dans de nombreux pays, ce sont en effet les filles et les femmes qui parcourent des kilomètres pour aller chercher de l’eau au puit. Elles ne peuvent alors pas aller à l’école ou travailler. Matt Damon rappelle ainsi que l’accès à l’eau potable est aussi un facteur d’égalité des chances : « j’ai vite réalisé que, partout où j’allais, le problème de l’accès à l’eau revenait constamment, qu’il était lié à la santé, à l’école, à l’émancipation des filles, à tout ».

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